Tout est dit dans le titre ! Jongler sur le toit du métro, tracer des pixações le long d’une éolienne ou sur le clocher d’une église… la liste des conneries à faire est longue comme le bras pour ce deuxième opus de Berlin Kidz. En une heure d’actions toutes plus intenses les unes que les autres, Paradox et son équipe de casse-cous sont bien déterminés à repousser les limites… toutes les limites.
La liberté n’a pas de prix, et les Berlin Kidz nous expliquent pourquoi.
Le pixaçao est différent du graffiti, il est bien plus critique. C’est de l’amour mais aussi de la haine contre le système, les banques, les hommes politiques. Tous des fils de putes. Ces sentiments influencent notre manière de faire du graffiti. On ne se drogue pas le weekend. Sur les murs, on exprime tout ce qui nous passe par la tête, tous nos problèmes.
Le système brise les gens pour en faire de bons petits travailleurs. Malheureusement, tout dépend de l’argent. On sort donc la nuit pour faire des pixaçaoes. On veut juste être libre et briser cette spirale infernale.