En perpétuelle ébullition depuis 50 ans, la scène du Graffiti à New York n’en finit pas de nous étonner : ces derniers temps, les peintures sur le métro semblent réapparaître à une fréquence de plus en plus cadencée. Serait-ce la renaissance du clean train movement, ou bien l’effet Instagram ? Les touristes de passage continuent d’apporter leur pierre à l’édifice… mais pas que.
Surfant sur cette nouvelle vague, un nom, Cry, sort régulièrement du lot. Le style est particulièrement léché et réussi, dans la plus pure tradition new-yorkaise. Qui est-il ? D’où vient-il ? Personne ne le sait, et c’est très bien comme ça.