Quand on peint des trains ou des métros, on sait que son œuvre va forcément disparaitre. C’est la règle, nul n’y échappe. Mais quand le buff est débordé, ou que les nettoyeurs n’ont pas le temps ou l’envie de finir le travail, les graffs partent tout de même en circu… légèrement modifiés.
Une compilation d’anomalies et de lettrages illisibles.
Vitres buffées
Un classique pour les wholecars mais aussi pour les panels, seules les vitres sont nettoyées… histoire que les voyageurs puissent profiter du paysage.
Lettrages à moitié effacé
Faute de temps, ou de motivation pour tout nettoyer, certains nettoyeurs lâchent l’affaire avant de pouvoir tout effacer. Résultat plutôt conceptuel : des pièces dont il ne reste que des fragments… une spécialité néerlandaise apparemment, il faut croire qu’en Hollande, quand c’est l’heure c’est l’heure !
Pièces frottées
Dans ce cas là, ce n’est pas la motivation qui manque, mais plutôt les produits chimiques. A défaut de pouvoir nettoyer proprement la surface du train, les ouvriers n’hésitent pas à frotter et gratter rageusement les lettrages. Un vrai travail de cochon !