Envie de peindre autre chose qu’un train ou un métro ? Dans la famille transports en commun, il y a le bus ! En version décapotable, articulé ou à étage, il en existe une infinité de modèles.
Un véhicule original que certains graffeurs peignent légalement… ou pas.
Bus disco mobile
Pour commencer en beauté, direction la Norvège avec une tradition inspirée du Spring Break. Pour fêter la fin de leurs études secondaires, les étudiants se réunissent en équipe et achètent des bus afin de les transformer en boites de nuit roulantes pour y faire la fête pendant un mois.
Une coutume locale prise très au sérieux avec un concours organisé pour récompenser le véhicule le plus beau. Pour participer, chaque équipe doit choisir un thème particulier pour son Sound System.
Une seule contrainte : être original et ne pas reprendre un concept déjà utilisé.
Pour la déco, les étudiants se payent les services des stars internationales du graffiti, qui chaque année se retrouvent discrètement en Norvège pour y peindre du bus à gogo.
Jam bus
Dans un registre plus classique, les organisateurs de jams et de festivals proposent régulièrement des bus à peindre, histoire de varier les supports.
Trash bus
Comme les trains, les bus finissent aussi à la casse ou sont abandonnés le long des routes. Une occasion de peindre tranquille sur un support original.
Bus en circu
En Suisse, les BLOW ont pris l’habitude de s’introduire dans les dépôts de bus pour y peindre sans aucune autorisation. Un moyen idéal de faire circuler le nom du crew dans le centre-ville de Bâle.